• 1] Définitions

     
    - La liberté : Il semble facile de définir la liberté et la plupart du temps on la considère comme la capacité de faire ce que l'on veut. Le problème devient plus évident lorsqu'on se rend compte que la volonté ne se confond pas avec les désirs et que faire ce que l'on veut cela n'est pas forcément faire ce que l'on désire. Dans un registre philosophique, le mot liberté désigne le pouvoir de notre volonté, de choisir ses fins, et d'agir de son propre mouvement sans résulter entièrement des facteurs qui agissent sur elle.


    - Le déterminisme : Le principe de causalité implique qu'il n'y a pas d'effet sans cause. C'est un principe qui permet à l'Homme d'étudier les sciences de la nature. De ce point de vue, tout se produit de manière nécessaire, et il n'existe pas d'évènement qui soit simplement contingent (possible). Il en découle que l'Homme, appartenant à la nature, est lui aussi soumis, semble-t-il, au principe de déterminisme.


    - Le fatalisme : Donc déterminisme ne se confond pas avec fatalisme selon lequel tout ce qui arrive est déjà prévu. Cela arriverait donc quoique je fasse. (Exemple d'Œdipe). Le fatalisme nie le principe de causalité. Quelle serait la responsabilité de l'Homme si fatalisme il y a ?


    - Le libre-arbitre : on appelle libre-arbitre la faculté de choisir entre faire une chose ou ne pas la faire sans que ce choix soit déterminé par autre chose que par notre volonté.


    2] Pensées de philosophes sur la liberté


    - Les stoïciens : Chez les Stoïciens, on considère que la Nature est soumise à un ordre invariable auxquelles les actions des Hommes ne peuvent rien changer. Pour le Stoïcisme, tout est prévu d'avance et la liberté de l'Homme consiste à comprendre le destin, à l'accepter, et même à coïncider avec lui de manière volontaire. Seulement, ils font une exception à la puissance du destin en mettant nos pensées hors de son influence. Nos idées dépendent de nos volontés.


    - Spinoza : Sa philosophie est un déterminisme radical. Il se pose alors une question de la plus haute importance : quelle place cette conception déterministe laisse-t-elle au jugement moral ? En effet, si les idées et les actions des individus obéissent à un déterminisme causal, il est impossible de rendre le sujet responsable de ses actes. À l'imputation morale et juridique on doit simplement substituer l'explication causale. Le pire des criminels était déterminé à être criminel exactement comme les gros poissons sont déterminés à manger les petits.


    -Kant : Il fait le même constat que Spinoza : il précise que même si une action fautive peut s'expliquer entièrement par les causes qui l'ont déterminé, on n'en blâme pas moins son auteur. Le refus du libre-arbitre semble conduire au rejet de l'idée de responsabilité. Il ne serait pas possible de punir une personne qui a commis un crime si on ne considérait pas cette personne libre.

     

    3] Citations de philosophes sur la liberté

     
    « Il n'y a dans l'âme aucune volonté absolue ou libre ; mais l'âme est déterminée à vouloir ceci ou cela par une cause qui est aussi déterminée par une autre [...] et ainsi à l'infinie » Spinoza, Éthique, Livre II, prop. XLVIII
    "Je dis donc qu'un homme est pleinement libre dans la mesure où il est dirigé par la raison; car c'est dans cette mesure qu'il est déterminé à agir par des causes qui peuvent être adéquatement comprises à partir de sa seule nature", tandis que "l'impuissance consiste en cela que l'homme se laisse passivement conduire par les choses extérieures à lui [...]". Spinoza,
     Éthique, partie III, proposition 48.
    « L'Homme possède le libre-arbitre, ou alors les conseils, les exhortations, les préceptes, les défenses, les récompenses, et les châtiments seraient vains » St Thomas d'Aquin,
     Somme théologique, I, q. 83, a. 1, rép.
    « Expliquer la liberté, c'est la détruire » Kant.


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  • Unicamente, unica mente

     

     

     

    Intro :

    El titulo de este poema : «Unicamente, unica mente». El autor es Reinaldo Arenas, un cubano, obligo de huir par culpa de su homosexualidad. El texto fue publicado en 2011. Habla de ma situacion de Cuba. Hay tres partes :

    Verso 1 à 6 : una pregunta some la juventud, su porvenir

    Verso 7 à 21 : La repuesta.

    Verso 21 à 31 : El mar como respuesta

     

    Analyse :

    Primera Parte :

    Repetition de «tienes que» y «ordenar», eso muestra el control de la poblacion. Esta parte habla de los jovenes. Normalemente, reprensta la esperanza, el porvenir. Pero, aqui, no tienen libertidad ( expresion ). el regimen controlo el porvenir de los jovenes : los optiones de trabajo : ser militar or ser agricola.

    Segunda Parte :

    Esta parte habla de la destruccion de la cuidad, la pobreza, todo esa destruido. Es como si Cuba estuviera en guerra. El autor niega esa realidad Cubano, quiere que los jovenes vivan une vida mejor. Para los cubanos, es una lucho cotidiana : hay una penuria. Repetition de la negacion «no» muestra que quieren el cambio. «Los grandes insultos» son las coutekes de propagande, ocupan mucho espacio como si solo le interesaran al regimen sus ideales politicas, pero no parece procuparse por la poblacion. «silencio y...» la reaccion de pueblo. El pueblo no puede mas pero no puede expresar su desacuerdo.

    Tercera Parte :

    Reaccion del pueblo que accaba por aceptar su miseria.Al final, para tener un poco de libertidad, quiern huir en Estidos Unidos por el mar. Algo mejor lejos la isla.

     

     

     

    Conclusion :

    Para conclur, en este poema, el autor quiere insistir en la esperanza de la poblacion. Pero, tambien en la miseria y la lucha de cadadia de los cubanos. Para mi, este poema muestro la realidad de este pais y permite ver la situacion muy dificil que los cubanos viven todas las dias.

     

     

     

    Bref résumé en français :

     

    Un cubain homosexuel, ayant fui à cause de sa sexualité, dénonce à travers ce poème les conditions de vie de la population cubaine, leurs difficultés de tous les jours. Selon cet auteur, leurs espoirs est de migré aux Etats Unis par la mer, un pays synonyme de liberté et d'espoir d'une vie meilleur. 


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